vendredi 21 mars 2008

Et ben, moi...

... j'dis qu'on est pas mal installé dans les fauteuils en rotin du Colombier. On est dans le couloir, d'accord, mais au chaud. Et puis, on dérange personne !
Il faut vous dire que les aventures de La Caldarane continuent: pas celles des chanteurs, mais celles des gens du bureau, comme ils disent ! L'autre soir, Saint-Pierre avait oublié ses clés, et les voûtes du ciel du manoir du Colombier nous ont été interdites pour l'occasion. Nous nous sommes installés béatement qui sur le parquet, qui le long du radiateur, qui dans les fauteuils... Chacun sa place, sans préséance...
Et on a bien réfléchi...
Et on a bien disserté...
Et on a fait des propositions...
Et pour le 20° anniversaire, on saura bientôt le fin mot de l'histoire.

Pour le moment, il reste du travail à faire pour les prochains concerts.. Du neuf à apprendre, du récent à reprendre, de l'ancien à raccommoder !

Allez, à chacun sa partition !

mercredi 19 mars 2008

Y'a dix ans, pour les 10 ans...



c'était le concert anniversaire de la création de la Chorale La Caldarane.

A partir de ce soir nous planchons sur ce que pourrait être le 20° de l'ensemble vocal "La Caldarane"...

Aidez-nous à le fêter comme il faut !


Déjà en 1992, toujours en 2008

Mais y sont où, mais y sont où ???

jeudi 6 mars 2008

Chronique d'un moustique

Le voyage fut long jusqu’à la salle Emile Robert pour mes frêles ailes. De plus, les feux de la rampe ont bien failli me transformer en moustique grillé.
Mais, rien de rien, je ne regrette rien. J’ai eu en effet l’immense privilège d’assister à un événement d’une portée scientifique de première importance :
LA METAMORPHOSE DU CHORISTE
En effet, tels les banales chenilles devenant gracieux papillons, les choristes, ces humains multicolores, bariolés et bigarrés, sont devenus des êtres d’une élégance inouïe. De noir vêtus de la tête aux pieds, avec une collerette gris perle, coiffés, maquillées, rasés de près, les voici parvenus au degré ultime du CHIC. Je n’en croyais pas mes yeux, ébloui devant cette totale transformation.
Précision : chaque ensemble de cette espèce particulière se métamorphose différemment. Les invités de mes choristes, eux, se transforment en rose et noir pour les spécimens femmes et blanc, noir et rouge pour les hommes.
Mais la métamorphose ne se cantonne pas à l’aspect extérieur. Lors de cet événement qu’est le concert, les choristes doublent au moins leur capacité pulmonaire puisqu’ils parviennent à la fin du morceau sans interruption intempestive du chef. Il faut bien dire qu’il doivent aussi augmenter leur aptitude à la discipline : ils ne se dissipent pas entre deux chants, ne rouspètent pas et ne font pas de grimaces (ou si peu). Ainsi, ils parviennent à produire ensemble des sons harmonieux, même s’il subsiste encore quelques petits défauts. Mais, ça c’est bien connu, l’être humain n’est pas parfait, leur métamorphose ne saurait donc être complète !

Le concert de Pouzauges sur Ouest-France

dimanche 2 mars 2008

Concert à la salle Emile-Robert

Alors ? Comment c'était ?

C'est l'heure de mettre votre commentaire !

Dans une salle à l'acoustique un peu sèche, le public relativement nombreux a, semble t-il, apprécié un concert ouvert à deux ensembles complémentaires. "Choeur en ballade" réunissant toute génération a su nous promener dans le monde poétique, romantique, revendicatif de chansons de tous horizons. Et puis, chapeau ! Chanter sans partition est un pari et une performance. Marie-Thérèse, le chef de choeur a le don de persuasion...
"La Caldarane" est intervenu en deuxième partie. Le répertoire a été décliné sous plusieurs formes: Altis et sopranes seules, ténors et basses à trois voix, en trio, et bien sûr les quatre pupitres réunis. La diversité est certainement une des qualités de cet ensemble, non ?

Mais, enfin, dites donc, qu'en pensez-vous ?

Les auditeurs étaient au rendez-vous. C'est plus difficile de motiver les gens qu'à Noël, mais on sent bien qu'il y a un public pour des concerts de musique vocale: il ne faut pas laisser tomber cette proposition sur la région... et tenter de faire naître des vocations chez les plus jeunes...

Et ben, voilà !